dimanche 2 octobre 2011

Katmandou (partie 1)

Après avoir obtenu mon visa à l'aéroport, à prix d'or, pour le Népal, j'ai découvert Katmandou (KTM) et plus précisément le coin de tous les trekkeurs : Thamel. Il y a un nombre incalculable de boutiques dédiées au trekking. On y trouve tout ce qui est nécessaire pour effectuer n'importe quel trek !


Je logerai une bonne partie du temps en faisant du couch surfing chez Hem. Il est guide au Népal et vit à Katmandou. Si la première nuit, j'étais seul dans la chambre, les nuits suivantes, un autre couch surfer s’invitera à la maison : David, un Américain.

Durant ces premiers jours passés à KTM, j’ai eu l’occasion de visiter 3 endroits :

Pashupatinah 

Pashupatinah est un temple dédié à l'Hindouisme. C’est le plus important temple Hindous au Népal. Il a été construit au bord de la rivière Bagmati qui est la rivière la plus sacrée du Népal puisqu'elle se jette dans le Gange. 



Lorsqu'un hindou meurt, il est brûlé au bord de la rivière. Son corps, recouvert de paille, brûlera lentement et ses cendres seront jetées dans cette rivière sacrée.
On peut également rencontrer quelques sadhus qui ont choisi la voie du renoncement et errent de lieux saints en lieux saints afin de s'affranchir de tout attachement.






Boudhanath


Boudhanath (ou Bodhnat) est l'un des principaux sanctuaires bouddhistes de la région de Katmandou. Le stûpa de Bodhnat, qui date du 14ème siècle, est l'un des plus grands au monde et est sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.




Kopan




Kopan est un monastère du Bouddhisme tibétain. Il a été construit en 1969 et doit son nom à la colline sur laquelle il a été construit. On y retrouve des hommes et des femmes de tous les âges. Des cours de bouddhisme sont également enseignés aux occidentaux.  



 " Puisse la paix régner sur Terre "






La vie à Katmandou




Ici, lorsque le soleil est de la partie, les enfants se retrouvent sur les toits des immeubles pour se livrer des combats à coup de "kite". Le kite (cerf-volant) est certainement LE jeu préféré des enfants et adolescents népalais. Même certains adultes retrouvent une âme d'enfant en se laissant prendre au jeu.
Le but n'est pas de voler le plus haut ou de s'amuser à voir voler son kite comme c'est le cas chez nous avec un cerf-volant. Ici, le but est de détruire le kite de son ou ses adversaires. En volant, il faut réussir à couper la ficelle du kite de l'adversaire avec sa propre ficelle. C'est tout un art. Yugen est d'ailleurs un maître puisqu'en 3-4 heures, il a réussi à briser 33 kites de différents enfants présents sur les toits de la ville et il n'a perdu que 2 combats. Un kite coûte 6 roupies, soit 6 cents.
Le kite peut atteindre de belles hauteurs : 400 ou 500 mètres facilement.





1 commentaire:

  1. Mon gars, en tout cas t'as déjà réussi quelques photos magnifiques!

    Les moines, celle en noir et blanc ou celle dans les tons de rouge sur la fin ont mes faveurs ^^

    COntinue comme ça et fait vraiment vraiment gaffe si tu pars en trek...


    Arnaud

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